Regreso al viejo continente, allí donde ne dejamos de ser mañana (y aún, no enteramente). Allí donde tenemos la costumbre de gravar lo que vemos con el propósito de contarselo a los demas, hecho sin el cual el viaje no tendría su verdadero sentido. Porque lo que le da valor al viaje es la mirada que recibe y no solo la del viajero sino la del que escribe o lee. Y luego miramos hacia atras para tener la certeza de que algo ha pasado aunque no le puedamos añadir la fuerza del instante.
Lo hacemos todo durante el viaje pero si te fijas lo que falta en el listado de los sitios recorridos es ese pequeño detalle que podría ser el encuentro con nosotros mismos. Y de repente si nos ponemos a buscar, es posible que, como ultimo, encontremos ese lado de nosotros que dice: dentro de diez minutos, de una hora, de dos años. Mañana
Anyway; I did it my way.
Je rentre sur le vieux conttinent, ici même où nous n’arretons pas de penser à demain, ici même où nous avons pour habitude d’enregistrer ce que nous voyons pour ensuite le raconter aux autres sans quoi le voyage n’aurait aucun sens. Parce que ce qui donne de la valeur au voyage c’est le regard qu’il reçoit. Non seulement le regard du voyageur mais aussi le regard de celui qui écoute et qui lit. Puis regardant en arrière, nous avons la certitude que nous avons vécu quelque chose même si nous n’avons pu capter la force de l’instant.
Nous tentons d’exploiter à fond notre voyage mais à bien y regarder, ce qu’il manque dans la liste des endroits parcourus c’est ce petit detail qui pourrait être la rencontre avec nous même. Y si soudain nous nous mettons à chercher il est probable que la seule chose que nous puissions trouver soit cette partie de nous qui dit: dans dix minutes, dans une heure, dans deux ans. Demain.